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Aux grands maux, les grands remèdes
24 octobre 2015

Peu importe, le sens, les doutes, toi, c'est toi, personne ne m'enlèvera ce que tu es, même pas toi!

Ma sorcière, ma belle et douce Sorcière, pour ne pas dire ton prénom, qui me fait vibrer. Tu es une magie à toi toute seule, par tes contrastes, tes colères, tes sourires. Tes joies, tes peines. De toi, je n'effacerai jamais les souvenirs de mon coeur, de mon âme. Tu sais saisir, cette partie de moi, celle que je cache, à tellement de monde, celle que personne ne connaît réellement. Cette partie c'est mon point faible, je te le laisse sorcière. Tu me dis que tu es capable de me faire du mal, beaucoup de mal, je te crois. Mais je te donne les armes pour le faire. Je préfère lâcher prise pour toi, plutôt que de me méfier. Le temps nous est compté, tu le sais . Le plus difficile c'est de le dire. Mais de ce temps que nous avons toi et moi, je n'en perdrais pas une seule once. Tu es un trésor, un couché de soleil, une étoile filante, ta beauté, ta magie est saisissante si on sait en apprécier la valeurs. Je me fou de ce que pense ton cerveau rationnel, je suis dingue de toi. Tu me plais, bordel, oui tu me plais! Et je ne changerai rien à tout ça, pas même ce petit déjeuner sans café, ni croissant! Tout ça, ça me fait du bien, tu me fais du bien. Reste cette belle ado, aussi longtemps que possible. Je te le demande, reste cette belle personne que tu me fai découvrir. Je t'admire, je t'embrasse, je le languis de te retrouver. Tu n'imagine pas
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